Quand nos parents « toxiques » deviennent âgé·e·s

Certain·e·s parents ont des schèmes de comportement répétés et nuisibles envers leurs enfants. Nous avons tous et toutes en tête l’image d’un·e parent maltraitant·e. Mais la violence n’est pas que physique, elle peut être psychologique, insidieuse, non volontaire. La violence des propos d’une mère envahissante, qui exige de sa fille qu’elle écoute sa plainte, encore et encore. Il s’agit d’un exemple, il y en a d’autres, fouillez votre mémoire ou celle de vos ami·e·s, vous en trouverez. Ces individus ont adopté une position toute-puissante qui ne favorise pas l’épanouissement de leurs enfants : culpabilisation, gas-lighting, manipulation pour se faire obéir, etc. 

Pour faire référence à ce type de comportements, plusieurs auteurs·trices (Forward, Susan ; Apter, Terri ; Arcoulin, Julie…) utilisent le mot « toxicité », terme que l’on a commencé à employer dans les années 1990 et qui est aujourd’hui largement utilisé.

« Cruel dilemme quand les parents sont malades ou âgés : les enfants se trouvent souvent pris au centre de sentiments fortement conflictuels, opposant pitié et rancune. Certains ressentent vivement l’obligation humaine fondamentale de s‘occuper de ses parents en même temps qu’une hypersensibilité envers leurs exigences » .

Nous avions envie de faire le point sur ces relations conflictuelles entre ces parents, alors perçu·e·s comme fragilisé·e·s en raison de leur âge, et ces enfants blessé·e·s qui auraient pourtant le devoir moral de les aider et de les accompagner jusqu’à la fin de leurs vies. 

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Quand nos parents « toxiques » deviennent âgé·e·s

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