« La fin de vie c’est mortel ! Parlons-en tant qu’il est temps »

La mort reste un sujet tabou. Elle engendre encore peurs, réactions de rejet, de fuite… que ce soit concernant notre propre mort ou celles des autres. Nous sommes capables de passer une très large partie de notre vie sans penser à notre finitude. 

 

La sombre période pandémique que nous venons de traverser a replacé la mort, jusqu’alors invisible et invisibilisée, dans nos vies. Via nos petits et grands écrans, une exposition quotidienne de chiffres plus morbides les uns que les autres.

On n’en parle plus. La succession de vagues a eu raison des plus fragiles d’entre nous. Les courbes rassurent et permettent de passer à autre chose. Concrètement, il en résulte des situations d’incompréhensions et de souffrance qui pourraient être évitées si la parole était libérée.

Quand l’âge avance, comment parler de ses envies et souhaits en matière de fin de vie avec ses proches si les réactions obtenues sont infantilisantes ou dans le déni absolu d’une réalité pourtant indéniable…

Comment oser en parler avec son parent âgé, s’il ne le fait pas spontanément ? Comment savoir où il ou elle en est dans certaines démarches, telles que les funérailles souhaitées, par exemple, si le sujet est balayé d’un revers de la main ?

En 2022, nous avons lancé une campagne intitulée « La fin de vie, c’est mortel ! Parlons-en tant qu’il est temps ».

Elle a pour objectifs de briser le tabou autour de la fin de vie et de la mort, donner des informations et promouvoir les échanges pour que chacun.e puisse faire – connaître et respecter – ses choix. Pour ce faire, nous proposons :

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